Qu’est-ce qui vous motive à accompagner les dirigeants ?
La conviction que c’est leur propre progrès qui fait progresser l’entreprise, en PME encore plus qu’ailleurs.

En quoi consiste votre approche ?
J’agis de trois façons. D’abord, en éclairant les situations à l’aide d’une vision globale. Ensuite, en simplifiant ce qui est complexe. Puis en écoutant ce qui se dit avec le non verbal, au-delà des mots.

Pourquoi un dirigeant vous sollicite-t-il en général ?
Il s’agit toujours d’un moment où il faut passer un cap, souvent au coeur d’une crise. Ce mot vient du grec « krisis » qui signifie « faire du tri, choisir, décider ». Je l’aide à passer au tamis les éléments dont il dispose, pour filtrer ses décisions au regard de ses partis-pris, pour devenir acteur.

C’est ce qu’on appelle la politique d’entreprise ?
Oui, c’est un concept proposé par Joseph Loustaud qui questionne la raison d’être de la structure. On va choisir son utilité, ses leviers, ses défis, et les relations sur lesquelles elle va pouvoir s’appuyer.

Quelle est la pensée qui vous anime cette année ?
« La chance c’est ce qui arrive quand la préparation rencontre l’opportunité ». Les crises qui se présentent à nous, globales ou individuelles, vont faire émerger quantité de défis. Ma place, c’est d’aider les dirigeants à les voir comme des occasions à saisir.

 » Offensiv’PME, c’est un peu comme une salle de sport !  » Retrouvez l’interview d’Antoine qui nous livre son point de vue sur Offensiv’PME : lien vidĂ©o